1973-03-09 | [Note de Michel Jobert, ministre des affaires étrangères, à Alain Peyrefitte, ministre des affaires culturelles et de l'environnement, du 19 avril 1974 relative à la restitution des archives de l'ancien Gouvernement général d'Algérie, transportées en France en 1962] | Compte-rendu d'un entretien de l'auteur avec Taleb, ministre algérien de l'information et de la culture, le 23 mars 1974 : 1° L'auteur indique que la question de la restitution des archives de l'ancien Gouvernement général, transportées en France en 1962, a été abordée, mais que "pour la première fois, nos interlocuteurs nous ont donné à entendre qu'ils demandaient essentiellement la restitution des archives historiques - arabes, turques, espagnoles - antérieures à 1830 ou contemporaines de la conquête, dont nous ne prétendons pas en effet être les propriétaires exclusifs" ; 2° Il demande par conséquent à connaître ce que contient exactement le fond d'Aix-en-Provence, et estime que l'invocation par la direction générale des archives de France d'un manque de moyens pour être expliquer l'inventaire partiel de ce fonds "devient avec le temps de moins en moins utilisable" (il demande, en conséquence, d'examiner la possibilité d'accélérer les opérations d'inventaire) [montrer plus] | Jobert, Michel |
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Type:text Date:1973-03-09 Creator:Jobert, Michel Identifier:AR_00419 |
Description:Compte-rendu d'un entretien de l'auteur avec Taleb, ministre algérien de l'information et de la culture, le 23 mars 1974 : 1° L'auteur indique que la question de la restitution des archives de l'ancien Gouvernement général, transportées en France en 1962, a été abordée, mais que "pour la première fois, nos interlocuteurs nous ont donné à entendre qu'ils demandaient essentiellement la restitution des archives historiques - arabes, turques, espagnoles - antérieures à 1830 ou contemporaines de la conquête, dont nous ne prétendons pas en effet être les propriétaires exclusifs" ; 2° Il demande par conséquent à connaître ce que contient exactement le fond d'Aix-en-Provence, et estime que l'invocation par la direction générale des archives de France d'un manque de moyens pour être expliquer l'inventaire partiel de ce fonds "devient avec le temps de moins en moins utilisable" (il demande, en conséquence, d'examiner la possibilité d'accélérer les opérations d'inventaire) [montrer plus]
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