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Date Title Description Creator
1917-07-01[Rapport de Viel, commandant, et André Ventre, architecte en chef des monuments historiques, du 1er juillet 1917 "à la suite de leur reconnaissance dans la région Tilloloy, Ribecourt, Vic-sur-Aisne et Nouvron-Vingre"]Compte-rendu de la reconnaissance, menée par le "délégué [de] M. le général Savatier, président de la commission de classement des vestiges et souvenirs de guerre", et par le délégué [de] Paul Léon, membre de la commission", du 16 au 19 juin, "des organisations dont l'intérêt avait été signalé à la commission, sur la partie de l'ancien front qui s'étend entre Nouvron-Vingre […] et Tilloloy […]", notamment : 1° Au titre des "observations générales", les auteurs estiment que si l'"on doit chercher surtout à conserver des ensembles", les "considérations économiques et financières" font que "seuls un très petit nombre d'ensembles, spécialement désignés soit par leur intérêt historique, soit par leur importance documentaire, soit parce que leur conservation peut se faire sans nuire à la reprise de la vie économique, pourront être classés, conservés et entretenus dans leur état actuel" (ils considèrent, en revanche, qu'"en ce qui concerne les vestiges isolés, il est facile au contraire de les conserver le plus souvent sans fraix, sans inconvénients pour la reprise de la vie économique" et qu'en conséquence "le choix pourra en être moins limité") ; 2° Ils présentent, ensuite, leurs conclusions pour chaque vestige qui avait été signalé à l'attention de la commmission (proposition de classement de 4 organisations d'ensemble et d'une dizaine de vestiges isolés ; proposition de "conservation par la documentation graphique d'un certain nombre d'ensembles et de vestiges isolés") [montrer plus]Viel
Ventre, André
Type:text
Date:1917-07-01
Creator:Viel
Ventre, André
Identifier:MH_02104
Description:Compte-rendu de la reconnaissance, menée par le "délégué [de] M. le général Savatier, président de la commission de classement des vestiges et souvenirs de guerre", et par le délégué [de] Paul Léon, membre de la commission", du 16 au 19 juin, "des organisations dont l'intérêt avait été signalé à la commission, sur la partie de l'ancien front qui s'étend entre Nouvron-Vingre […] et Tilloloy […]", notamment : 1° Au titre des "observations générales", les auteurs estiment que si l'"on doit chercher surtout à conserver des ensembles", les "considérations économiques et financières" font que "seuls un très petit nombre d'ensembles, spécialement désignés soit par leur intérêt historique, soit par leur importance documentaire, soit parce que leur conservation peut se faire sans nuire à la reprise de la vie économique, pourront être classés, conservés et entretenus dans leur état actuel" (ils considèrent, en revanche, qu'"en ce qui concerne les vestiges isolés, il est facile au contraire de les conserver le plus souvent sans fraix, sans inconvénients pour la reprise de la vie économique" et qu'en conséquence "le choix pourra en être moins limité") ; 2° Ils présentent, ensuite, leurs conclusions pour chaque vestige qui avait été signalé à l'attention de la commmission (proposition de classement de 4 organisations d'ensemble et d'une dizaine de vestiges isolés ; proposition de "conservation par la documentation graphique d'un certain nombre d'ensembles et de vestiges isolés") [montrer plus]
1917-10-15[Rapport de Viel, commandant, et André Ventre, architecte en chef des monuments historiques, du 15 octobre 1917 "à la suite de leur reconnaissance dans la région au Nord-Ouest d'Arras et dans la région de la bataille de la Somme"]Compte-rendu de la reconnaissance, menée par le "délégué [de] M. le général Savatier, président de la commission de classement des vestiges et souvenirs de guerre", et par le délégué [de] Paul Léon, membre de la commission", du 11 au 14 septembre 1917, "des organisations et vestiges dont la liste avait été adressée à la commission par M. le général commandant en chef" et de l'étude menée par André Ventre seul du 15 au 29 septembre 1917 des vestiges reconnus et de vestiges non encore signalés, notamment : 1° Les auteurs estiment qu'"il n'y a rien à […] retenir comme souvenirs ou vestiges à proposer pour un classement" de la "liste des organisations et vestiges à visiter qui avait été dressée par le G.Q.G." ("classer les ruines telles qu'elles sont, ce serait empêcher les villages de renaître, et encore la végétation arriverait-elle en peu d'années à reconquérir les ruines et à les rendre méconnaissables") et qu'"il n'y a guère plus de propositions à présenter, en ce qui concerne les vestiges d'organisations militaires françaises, anglaises ou allemandes" ; 2° Les propositions de classement sont, en conséquence, "en très petit nombre" (présentation détaillée) ; 3° En conclusion, deux "questions connexes" sont abordées, proposant de préserver quelques "destructions volontaires opérées par l'ennemi au moment du repli de 1917" ("l'émotion" qui s'en dégage "est autrement intense que celle que produit la vue de villages à peu près disparus, au cours de la lutte du fait du bombardement") et d'engager "l'érection de monuments commémoratifs", à l'exemple des Anglais [montrer plus]Viel
Ventre, André
Type:text
manuscrit
Date:1917-10-15
Creator:Viel
Ventre, André
Identifier:MH_02105
Description:Compte-rendu de la reconnaissance, menée par le "délégué [de] M. le général Savatier, président de la commission de classement des vestiges et souvenirs de guerre", et par le délégué [de] Paul Léon, membre de la commission", du 11 au 14 septembre 1917, "des organisations et vestiges dont la liste avait été adressée à la commission par M. le général commandant en chef" et de l'étude menée par André Ventre seul du 15 au 29 septembre 1917 des vestiges reconnus et de vestiges non encore signalés, notamment : 1° Les auteurs estiment qu'"il n'y a rien à […] retenir comme souvenirs ou vestiges à proposer pour un classement" de la "liste des organisations et vestiges à visiter qui avait été dressée par le G.Q.G." ("classer les ruines telles qu'elles sont, ce serait empêcher les villages de renaître, et encore la végétation arriverait-elle en peu d'années à reconquérir les ruines et à les rendre méconnaissables") et qu'"il n'y a guère plus de propositions à présenter, en ce qui concerne les vestiges d'organisations militaires françaises, anglaises ou allemandes" ; 2° Les propositions de classement sont, en conséquence, "en très petit nombre" (présentation détaillée) ; 3° En conclusion, deux "questions connexes" sont abordées, proposant de préserver quelques "destructions volontaires opérées par l'ennemi au moment du repli de 1917" ("l'émotion" qui s'en dégage "est autrement intense que celle que produit la vue de villages à peu près disparus, au cours de la lutte du fait du bombardement") et d'engager "l'érection de monuments commémoratifs", à l'exemple des Anglais [montrer plus]